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Les personnes qui ont amélioré Ottawa en 2018

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En 2018, nous avons eu l’occasion de surprendre, de rencontrer et de reconnaître de remarquables promoteurs de changement à Ottawa au moyen des Prix de bâtisseurs communautaires. Ces bâtisseurs communautaires consacrent temps et compétences pour aborder des questions comme les problèmes de santé mentale des jeunes, les champions de l’inclusion et de la diversité, le renforcement d’initiatives et de programmes locaux, et la création d’endroits sécuritaires pour les membres de la communauté LGBTQ+.

Bien que tous les lauréats aient contribué de façon unique aux besoins de la communauté, ils partagent un objectif commun, soit de faire de notre ville un meilleur endroit où vivre pour tous.

Vous trouverez ci-dessous le nom de tous les lauréats et les façons dont ils ont amélioré Ottawa en 2018.

Elaina Martin, fondatrice et directrice du festival WestFest, a un certain talent pour mettre les gens à l’aise et les rendre autonomes. Sa politique est d’être entièrement ouverte à tous. Son mandat est de continuer d’offrir un festival gratuit et accessible à tous. Sa passion à l’échelle locale va au-delà du WestFest; elle siège bénévolement aux comités des organismes suivants : Minwaashin Lodge (en anglais seulement), Odawa Native Friendship Centre (en anglais seulement), Bureau des services à la jeunesse d’OttawaGalerie SAWRéseau des festivals d’Ottawa.

En 2005, Calla Barnett et six autres jeunes de la communauté LGBTQ2S+ ont fondé Jers Vision, une initiative de diversité au profit des jeunes canadiens. Il y a plus de dix ans, l’initiative est devenue ce qu’elle est aujourd’hui : le Centre canadien de la diversité des genres et de la sexualité (CCDGS). Mme Barnett a occupé plusieurs rôles au sein de l’organisme et, plus récemment à titre de présidente du conseil, elle a instauré la nouvelle ère du CCDGS. Le Centre offre des programmes et des services plus importants à la communauté LGBTQ2S+ et est sur le point de construire un musée sur les premiers membres de la communauté LGBTQ2S+ canadienne à Ottawa.

En 2007, Gregory Motayne s’est joint à ce qui était autrefois l’Eastern Ontario Youth Justice Agency, car la mission de l’organisme était identique à la sienne, soit d’aider les jeunes à risque à améliorer leur qualité de vie. Le principal objectif de l’organisme était d’offrir des programmes et des services qui aideraient les jeunes à risque ou en conflit avec le système de justice pénale à améliorer leur qualité de vie. Avec l’aide de M. Motayne, l’agence s’est rapidement transformée en ce qui est maintenant Youturn. Des centaines de vies ont à présent été améliorées grâce à sa passion pour aider les gens, et son travail auprès de YouTurn constitue une force positive dans notre ville.

Shelley Rolland-Poruks fait du bénévolat depuis sa tendre enfance. Elle a toujours pris le temps de redonner à sa communauté, peu importe les endroits où elle et sa famille ont vécu et les endroits où elle a étudié (y compris l’université). Aujourd’hui, Mme Rolland-Poruks est fonctionnaire publique. Elle continue de faire du bénévolat à Ottawa. Pour célébrer la Semaine nationale de la fonction publique, le sénateur Vern White lui a remis un Prix de bâtisseur communautaire. Mme Rolland-Poruks s’implique au sein des organismes suivants : Centraide du comté de Renfrew (en anglais seulement), le YWCA de Durham (en anglais seulement), le club Kiwanis (en anglais seulement), Centraide Ottawa, et bon nombre d’autres organismes de bienfaisance. Elle est sans aucun doute une chef de file, une partisane et un modèle de développement communautaire tant à la fonction publique qu’ailleurs.

Certains des lauréats des Prix de bâtisseurs communautaires de 2018 partageaient la même passion, soit l’établissement d’endroits inclusifs et constructifs par l’entremise du basketball. Voici les trois entraîneurs et organisateurs de la ligue qui ont créé un endroit accueillant et favorable pour les jeunes d’Ottawa :

Andy Sparks est l’entraîneur de l’équipe de basketball féminine de l’Université d’Ottawa. Il a, au sein de son équipe et de la communauté sportive, créé une culture dans le cadre de laquelle la victoire ne sacrifie pas le bien-être des joueurs. M. Sparks est un fervent partisan des problèmes de santé mentale : il accorde la priorité au bien-être mental de ses joueurs, tout en privilégiant la compassion et la compétitivité. C’est pourquoi il est devenu un organe de réflexion pour les autres entraîneurs de la ligue qui encadrent des joueurs souffrant de problèmes de santé mentale. M. Sparks commence ses conversations sportives en mentionnant les problèmes de santé mentale, ce qui lui permet d’améliorer le jeu.

Sharmaarke Abdullahi a contribué à la mise en œuvre de douzaines de projets communautaires, notamment les clubs d’aide aux devoirs, les programmes de direction des jeunes et les programmes de mentorat, sans oublier une ligue de basketball pour jeunes. La Somali Youth Basketball League est un organisme sans but lucratif pour les jeunes qui vivent dans des logements sociaux. L’objectif de la ligue est d’aider les jeunes à acquérir des compétences en direction et des aptitudes sociales par l’entremise du basketball. M. Abdullahi a organisé les parties de la ligue depuis les dix dernières années. Il a vu le projet prendre de l’ampleur et améliorer la vie de centaines de jeunes à Ottawa.

Andy Waterman a fondé l’Ottawa Phoenix Basketball Club. Cet entraîneur-chef permet aux étudiants de participer à des sports de compétition. Ainsi, les jeunes athlètes se concentrent sur leur développement social, leur sens de la citoyenneté, leur dévouement et leur esprit d’équipe. Il aide à faire respecter l’idée suivante : pour créer une communauté meilleure, nous devons avoir des jeunes forts et responsables. C’est une citation que les joueurs aiment beaucoup.

Nous honorerons tous les lauréats de Prix de bâtisseurs communautaires de 2018 lors de la cérémonie du Mur de l’inspiration ce printemps. Leur nom sera ajouté de façon permanente à l’installation, qui se trouve à l’hôtel de ville.

Affrontons ensemble les problèmes sociaux les plus difficiles en cette période des fêtes.

Pauvreté. Sans-abrisme. Problèmes de santé mentale. Isolement social. Ces défis peuvent sembler accablants, mais vous pouvez changer les choses en faisant un don à Centraide.

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